LA FOLIE DES POETES

Je t'offrirai un océan d'amour,
et tout ce qu'il y a autour.
Je t'offrirai ma chaleur,
pour activer ton ardeur.
Je t'offrirai mon souffle,
si le tien s'essouffle.
Je t'offrirai même les battements
de mon cœur,
si jamais le tien meurt,
ainsi je vivrai en toi,
à travers toi, par toi
et rien que pour toi!!!

La porte des saisons de notre cœur.
La porte des saisons de notre cœur, c'est la porte du bonheur ou du chagrin,
que l'on ouvre ou que l'on ferme suivant notre état d'esprit.
malheureusement nous ne sommes pas toujours capables de prendre
les bonnes décisions. Nous n'écoutons pas cette petite voix intérieure,
la voix de notre conscience qui est aussi la voix de notre ange gardien
qui essaye de nous guider vers la bonne direction, nous savons mal
détecter ces petits signes.
Quand une porte du bonheur se ferme une autre s'ouvre,
mais nous, nous continuons à regarder tristement la porte fermée
et nous n'accordons pas tout de suite de l'importance à celle que nous
venons d'ouvrir, et c'est bien dommage, car c'est du temps perdu,
nous ne nous rendons pas toujours compte que c'est un nouveau
bonheur qui vient frapper à la porte de notre cœur!!!

mélis-mélo des mots.
La langue est le regard de notre âme, que nous
tentons de traduire avec notre vécu.
Avec l'amour et l'amitié, c'est le plus beau lien
entre les êtres.
Certains mots guérissent tous les maux.

Le philosophe Bergson Henri disait:
"Entendre la parole c'est d'abord en reconnaitre
le son, c'est ensuite en retrouver le sens,
et c'est enfin en pousser plus ou moins l'interprétation".

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Nous vivons toujours à travers nos souvenirs.
le souvenir c'est la présence dans l'absence...
C'est la parole dans le silence...
Le retour sans fin d'un instant de bonheur passé
auquel le cœur donne l'immortalité...

Les meilleurs moments de notre vie nous ne prouvons
jamais les oublier, nous les revivons à travers nos
pensées, nous les faisons vivre dans notre esprit,
et nous vivons toujours dans l'espoir
de revivre ces merveilleux moments, qui ont illuminé
notre vie pendant un instant.

Tant que tu peux reste avec moi.
Là où je vais, suis-moi,
Si je te parle, réponds-moi,
si je te cherche, viens à moi,
Si j'ai envie de toi, prends-moi,
Si j'ai froid, réchauffe-moi,
Si j'ai peur, rassure-moi,
Si je pleure, console-moi,
Si je part, viens avec moi,
Mais si je meurs, ne me suis pas...

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Viens mon ange.
Viens mon ange, sème l'amour à travers les nuages,
Viens et emmène-moi avec toi, je veux visiter le paysage de ton coeur,
le paradis du bonheur.
prête-moi tes ailes et traversons le ciel, serre-moi contre toi,
serre-moi encore, sentir la chaleur de tes bras, jusqu'à l'aurore,
m'impreigner de toi jusqu'à me noyer en toi, pour l'éternité,
pour ne plus jamais être séparés, viens mon ange,
si tu me laisse en vain, je mourrais de chagrin.
Viens, car mon cœur est une terre d'asile,
il te comblera d'un bonheur tranquille,
tu y trouveras le chemin de l'amour,
et de la tendresse chaque jour.
Viens mon ange, dans la douceur ouatée de mon cœur,
dans le nid douillet de mon corps, qui d'amour pour toi se meurt.

Il est parfois difficile d'être heureux, je ne pourrais jamais l'être complètement,
même si j'ai tout pour l'être, il suffit que je regarde autour de moi,
de voir toute la souffrance du monde, de savoir, qu'il y a des gens qui souffrent,
qui meurent de faim, des enfants qui sont violés ou martyrisés, suffit à m'empêcher d'être complètement heureuse, c'est comme si j'avais des chaines qui m'empêcheraient
d'avancer vers un bonheur absolu, car on ne peut pas rester indifférent à la souffrance
et aux malheurs des autres.

Un jour je me suis demandé, mais comment fait-t-on pour être heureux?
Le ciel alors m'a entendu.
Et un ange m'a répondu, "il faut vivre et apprendre à sourire"...
Mais un diable m'a répondu, "pour cela il faut mourir.

Alors lequel des deux a raison?

écrire, pour oublier ses peurs,
écrire, pour sublimer le meilleur,
S'abandonner sur l'expression des mots,
Allonger sur le papier tous ses maux.
C'est une thérapie souvent pour certains,
De la confession du cœur qui se plaint.
C'est la convalescence des âmes meurtries,
Et le réconfort, des actes accomplis.
écrire, c'est laisser un peu de soi,
C'est ouvrir des horizons aux esprits étroits,
Faire fantasmer, par nos idées cérébrales,
Toutes formes de pensées théâtrales,
Arbitrées par l'imagination débordante,
De celui dont la plume chante.
L'écrivain est maitre de sa main,
Mais la main, est le maitre de l'écrivain,
Mais leur grand supérieur,
Est sans conteste le cœur.écrire, pour oublier ses peurs,
écrire, pour sublimer le meilleur,
S'abandonner sur l'expression des mots,
Allonger sur le papier tous ses maux.
C'est une thérapie souvent pour certains,
De la confession du cœur qui se plaint.
C'est la convalescence des âmes meurtries,
Et le réconfort, des actes accomplis.
écrire, c'est laisser un peu de soi,
C'est ouvrir des horizons aux esprits étroits,
Faire fantasmer, par nos idées cérébrales,
Toutes formes de pensées théâtrales,
Arbitrées par l'imagination débordante,
De celui dont la plume chante.
L'écrivain est maitre de sa main,
Mais la main, est le maitre de l'écrivain,
Mais leur grand supérieur,
Est sans conteste le cœur.

A l'heure où la lune clame sa présence.
Chassant le soleil, par son intolérance,
Elle est celle qui impose et qui domine,
La nuit sombre, que son seul éclat illumine.

Dans l'immensité de ce ciel dense,
Les étoiles seules ont leurs places en sa présence,
Son charisme atteint toute proportion,
Jamais égalé, par ces planètes en perditions.

Elle veille ainsi sur le monde,
Toutes les nuits elle fait sa ronde,
Nous montrant ses différents profils,
Ou en se cachant derrière un nuage hostile.

Peut-être pour ne plus voir sur terre, la violence,
Qui toutes les nuits s'active à outrance,
Son domaine est si calme et silencieux, que tous rêvent
de visiter ce lieu.

Je voudrais être une colombe,
Qui toujours prend son envol,
Ivre de liberté et qui ne succombe,
Qu'à l'ivresse que lui procure son vol,
Majestueuse dans sa robe blanche,
Déployant ses ailes avec grâce,
Obstinée, montrant ainsi son insouciance,
Au monde entier qu'elle surpasse,
Par son intelligence et son intégrité,
Elle est fière et rebelle,
Parcourant ainsi toutes les contrées,
En ne se souciant que d'elle,
Ignorant la souffrance humaine,
Et toutes ses véhémences.
Elle observe le monde telle une souveraine,
Qui n'a d'égale que sa compétence,
Pour dominer le monde, ainsi que son domaine,
En gardant pour elle sa conscience.
Réfractaire nul ne peut l'égaler,
Elle est reine au-dessus des nuages,
Par sa beauté, et sa dextérité,
Tel un ange, qui dans le ciel fait refléter son image.

Je ne suis qu'une flamme,
Pour réchauffer ton âme,
Je ne suis que douceur,
Pour soigner ton cœur.

Je ne suis sur la terre,
Que pour être ta lumière,
Celle que tu gardes en toi,
Et qui jamais ne s'éteindra.

je veux être les globules,
Qui en toi se bousculent,
Et faire couler dans tes veines,
La passion qui est mienne.

Je me ferai minuscule,
Plus petite qu'une libellule,
Pour ne jamais te gêner,
Dans ta vie et ta liberté.

Je boirai toutes tes larmes,
Et te défendrai de toutes mes armes,
Contre toutes celles et ceux,
Qui te rendraient malheureux!

Je te demande avec ferveur,
De me garder dans ton cœur,
jusqu'à ce que nos jours heureux,
Nous auront rendu vieux.

Je ne suis qu'une femme,
Qui pour toi, l'amour, s'enflamme,
En un feu qui alimente,
Cette passion insolente!

Les draps que l'on froisse,
Les mots que l'on casse,
émotions et tentations,
Dans les ébats de passion.
Tourbillon de plaisir,
Dans un mélo de désir,
Unis par des murmures,
Qui caractérisent la censure!
Cette émotion, recherchée,
N'est que douceur et volupté,
Mêlant la sueur,
Aux larmes de bonheur.
Dans ces ébats effrénés,
que chacun veut gouter,
Dès la première expérience,
on découvre cette science,
Comme une drogue dominante,
Dans notre vie trépidante.
On apprend à dominer,

Ces pulsions sensuelles,
A nos actes charnels.

LA FOLIE DES POETES - Page 21 41026511

sépare, dit on, pour mieux se retrouver
Se regarder, s'aimer, se toucher,
Il est là, elle dans ses bras
Il est l'heure, il et elle ne veulent pas

Partir pour eux à chaque fois c'est mourir
Vivre chaque jour avec ce sourire
Celui qu'on est obligé d'imaginer
Tout le temps, chaque minute, les yeux fermés

Se lever le matin, ne plus avoir faim
Envie seulement de sa peau, envie de sa main
Besoin de son regard d’amour pour marcher

LA FOLIE DES POETES - Page 21 Dyn00629

je t aime

mon ange
Pour le soleil que tu poses en mon cœur
Pour m’avoir offert la définition du bonheur
Pour tes yeux remplit de tant de douceur
Et pour être devenu mon honneur,
Je t’aime

Pour tous tes mots enchantés
Pour tous ces moments passer à m’émerveiller
Pour tous ces jours passés à tes cotés
Et pour avoir la force de m’aimer,
Je t’aime

Pour être là, toujours près de moi
Pour avoir fait de moi la voie de tes pas
Pour avoir fait de toi mon roi
Et pour tous ces moments de joie,
Je t’aime

Pour avoir su me relever
Pour m’avoir appris le mot aimer
Pour avoir recoller un cœur brisé
Et pour m’avoir donner un conte de fées,
Je t’aime

Pour toutes ces choses, tous ces moments
Pour tous tes mots, tes sentiments
Pour toutes tes attentions d’un homme aimant
Et pour avoir effacer un passé navrant,
Je t’aime

Pour toutes tes lettres, tous tes je t’aime
Pour tous tes regards, ces longs poèmes
Pour m’avoir offert l’inspiration bohème
Et pour tout cet amour que tu sème,
Je t’aime

Tu es mon cœur, tout ce que j’ai
Mon autre, mon double et mon reflet
Seulement pour toi, ce que tu es
Comment te remercier pour ce que tu fais,
Je t’aime

pour toi mon amour

Un regard...

Lorsque je croise son regard,
Mon corps se met à frissonner...
Dès que j'observe ses yeux noirs,
Je deviens vite toute perturbée...

Il a des yeux si envoutants,
Que je détourne mon regard...
Si je m'y plonge un seul instant,
Je deviens vite toute bizarre...

Mais dites-moi pourquoi je vibre,
Si j'ose le regarder en face...
Pourquoi je perds l'équilibre,
Pourquoi je tombe dans l'angoisse...

Son regard est bien trop troublant
Pour que le mien ose le croiser...
Son regard est ensorcelant...
Il m'est interdit d'être troublée...

Je ne peux me laisser me noyer
Dans étincelles de ses yeux...
Mais comment pourrais-je échapper
A son regard si délicieux..

T'étais tout

T'étais tout j'étais jaloux
Cafards à tes retards

J'étais jaloux comme un fou
Surveillant tes regards

T'étais tout et t'es plus rien
Comme une flamme qui s'éteint
T'étais tout et t'es plus rien

Je voulais sentir tes mains
Jamais loin de mes reins

Ça s'arrête un beau matin
Pourquoi on sait pas bien

T'étais tout et t'es plus rien
Comme une flamme qui s'éteint
T'étais tout et t'es plus rien

Ils se brisent tous les liens
Plus envie de câlins

Plus envie de ce chemin
Sans les saveurs soudain

T'étais tout et t'es plus rien
Comme une flamme qui s'éteint
T'étais tout et t'es plus rien

T'es déjà plus qu'un souvenir
T'étais tout l'avenir

Si tu veux sans cri finir
Adieu on va se dire

T'étais tout et t'es plus rien
Comme une flamme qui s'éteint
T'étais tout et t'es plus rien

Un papillon fou flotte dans les airs
un air de printemps monte de la terre
immersion totale au diapason
de douces senteurs de pétales

Plaisir virginal de la saison des fleurs
la beauté m’effleure de ses ailes d’or
je m’endors en ce cœur qui me butine
cette âme mutine qui palpite sur mes lèvres

Un chant d’amour s’échappe et vibre
qui fait s’écouler les sables du désert
s’écrouler les tristes châteaux de pierres
se lever d’un bond les graines libres

Un papillon fou vole dans les airs
je m’accroche à ses ailes de miel
pour me poser de cœurs en cœurs
entre la Terre et le ciel.

Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,

Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs,

Au mois de mai, dans le jardin qui n'ensoleille,

Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants.

Comme le renouveau mettra nos cœurs en fête,

Nous nous croirons encore de jeunes amoureux,

Et je te sourirai tout en branlant la tête,

Et nous ferons un couple adorable de vieux.

Nous nous regarderons, assis sous notre treille,

Avec de petits yeux attendris et brillants,

Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,

Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs.

Sur le banc familier, tout verdâtre de mousse,

Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer ;

Nous aurons une joie attendrie et très douce,

La phrase finissant souvent par un baiser.

Combien de fois jadis j'ai pu dire : "Je t'aime !"

Alors, avec grand soin, nous le recompterons.

Nous nous souviendront de mille choses, même

De petits riens exquis dont nous radoterons.

Un rayon descendra, d'une caresse douce,

Parmi nos cheveux blancs, tout rose, se poser,

Quand, sur notre vieux banc tout verdâtre de mousse,

Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer.

Et, comme chaque jour je t'aime davantage,

Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain

Qu'importeront alors les rides du visage,

Si les mêmes rosiers parfument le chemin ?

Songe à tous les printemps qui dans nos cœurs s'entassent.

Mes souvenirs à moi seront aussi les tiens.

Ces communs souvenirs toujours plus nous enlacent

Et sans cesse entre nous tissent d'autres liens ;

C'est vrai, nous serons vieux, très vieux, faiblis par l'âge,

Mais plus fort chaque jour je serrerai ta main,

Car, vois-tu, chaque jour je t'aime davantage

Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain !

En ce cher amour qui passe comme un rêve

Je veux tout conserver dans le fond de mon cœur,

Retenir, s'il se peut, l'impression trop brève,

Pour le savourerais plus tard avec lenteur.

J'enfouis tout ce qui vient de lui comme un avare

Thésaurisant avec ardeur pour mes vieux jours.

Je serais riche alors d'une richesse rare,

J'aurais gardé tout l'or de mes jeunes amours,

Ainsi de ce passé de bonheur qui s'achève

Ma mémoire parfois me rendra la douceur ;

Car de ce cher amour qui passe comme un rêve

J'aurais tout conservé dans le fond de mon cœur.

Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,

Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs,

Au mois de mai, dans le jardin qui n'ensoleille,

Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants.

Comme le renouveau mettra nos cœurs en fête,

Nous nous croirons encore aux jours heureux d'antan,

Et je te sourirai tout en branlant la tête,

Et tu me parleras d'amour en chevrotant.

Nous nous regarderons, assis sous notre treille,

Avec des yeux remplis des pleurs de nos vingt ans.

Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,

Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs !

LA FOLIE DES POETES - Page 21 Dyn01013

" Un baiser, mais à tout prendre, qu'est-ce ?
Un serment fait d'un peu plus près, une promesse
Plus précise, un aveu qui veut se confirmer,
Un point rose qu'on met sur l'i du verbe aimer ;
C'est un secret qui prend la bouche pour oreille,
Un instant d'infini qui fait un bruit d'abeille,
Une communion ayant un gout de fleur,
Une façon d'un peu se respirer le cœur,
Et d'un peu se gouter, au bord des lèvres, l'âme !

Rien n'est jamais acquis à l'homme. Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son cœur. Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
Il n'y a pas d'amour heureux

Sa vie elle ressemble à ces soldats sans armes
Qu'on avait habillés pour un autre destin
A quoi peut leur servir de ce lever matin
Eux qu'on retrouve au soir désœuvrés incertains
Dites ces mots ma vie et retenez vos larmes
Il n'y a pas d'amour heureux

Mon bel amour mon cher amour ma déchirure
Je te porte en moi comme un oiseau blessé
Et ceux-là sans savoir nous regardent passer
Répétant après moi les mots que j'ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent
Il n'y a pas d'amour heureux

Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos cœurs à l'unisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
Il n'y a pas d'amour heureux

Il n'y a pas d'amour qui ne soit douleur
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri
Et pas plus que de toi l'amour de la patrie
Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs
Il n'y a pas d'amour heureux
Mais c'est notre amour à tous les deux

J'aimerais voir la nuit tomber
Me blottir tout contre toi
Que tes yeux se pose sur moi
Avec la douceur de cette nuit d'été

Par mes jeux de baisers t'évanouir
écouter tes mots et tes soupirs
J'aimerais tellement te chouchouté des mots
Entre tendresse et caresse

Vivre que pour cet instant unique
Dans la nuit étoilé t'aimer simplement
Déguster tes baisers au gout de miel
Et que la nuit me parait soudain si belle

Et nos corps doucement s'emmêle
Jusqu'au bout de la nuit te faire l'amour
Qu'on se donne à l'infini toi et moi
Et puis heureux voler vers le sommeil

Au petit matin s'aimer encore tendrement
Dans la valse du temps qui passe
Au cœur de la vie c'est un arc-en-ciel
Moi je veux juste t'aimer à l'infini

image

J'aime te désaltérer comme un nouveau né,
en te donnant mon cœur à suçoter.

Je m'émoustille en offrant mes formes,
à tes douces mains d'homme.

Je tremble quand sur ma peau tu dessines,
ton désir de tes lèvres félines.

Je m'embrase quand je te sens butiner
avec fougue mon doux miel sacré.

Je brûle d'envie de nous ,de toi,
ça me rend folle crois moi.

J'adore avec toi ressentir,
cette sensation que l'on nomme Plaisir.

Je me délecte de cette envie de nous,
j'aime, « nous », te rendre fou..

J'aime quand nos corps enlacés,
passent du lac a des mers déchainées.

Je vénère tes allers et retours endiablés
qui sensuelle ment font affluer vers toi la rosée .

Je frissonne sous tes caresses,
qui de l'amour me font sentir Déesse.

Je me régale de tes baisers,
car ils sont à la fois sucrés et salés.

J'aime t'attirer, te toucher, t'effleurer,
t’aimer, te désirer, te serrer , te caresser,

T’enchaîner de ma tendresse passionnée
en mes lèvres douces et mouillées...

J'atteins le ciel qui n'a rien de gris
et alors je frémis, je t'aime et je crie.....

de TOI, forte est mon envie...

J'aime et J'adore faire l'Amour avec Toi..

J'ai accepté d'ouvrir mon cœur
Un banal soir de mars
Sereine, sans rien attendre
Sans crainte, ni doute, ni peur

J'ai recommencé à écrire, et mes yeux à ouvrir
J'ai aussi commencé peu à peu à comprendre
Ce que j'ai trop longtemps refusé d'entendre
"Dans une vie... il y a plusieurs chemins à suivre"

Dans un chemin inconnu je me suis aventurée
A la recherche d'un peu plus de bonheur sans doute
A la fois consciente et ignorante des dangers
Passionnément, j'ai quand même poursuivi cette route

Puis je me suis arrêtée au milieu du parcours
Soudain éblouie par les étoiles dans le ciel
Et j'y ai vu parmi toutes une petite merveille
Qui allait changer ma vision de l'amour

Alors je me suis laissée transporter, flotter,
Rêver dans ce voyage galactique
Et voler vers cette étoile qui m'avait subjuguée
Une étoile authentique et magique

Autour de cette étoile j'ai longtemps tourné
Attendant un petit signe d'elle pour que je reste
Mais elle aussi m'avait bien remarquée
Et généreusement elle m'a fait un geste

J'ai ensuite accepté de faire un peu plus de place
Dans ma vie et aussi un peu plus dans mon cœur
Pour cette étoile magnifique, étoile du bonheur
Qui dans mon esprit, désormais, plus ne s'efface

Sur la route de ma vie...

J'ai agrandi encore un peu plus mon cœur
Un jour inoubliable vraiment très particulier
Sereine, prête à aimer et à m'abandonner
Sans retenue, rien que pour le meilleur

Mon amour tu es cette étoile...

Et sur cette longue route de vie
Le temps s'est arrêté ce samedi
Depuis qu'on s'est rencontrés
Et que nos corps ont fusionné

Pas un jour il ne se passe
Sans que je ne repense
A ces heures intenses
Qui ont laissé des traces...

Des traces indélébiles et gravées en moi
Des heures de plaisir, des morceaux de toi
Des battements forts du cœur
De purs instants de bonheur

Sur la route de ma vie...

Je ne suis qu'à mi - parcours
Et je veux poursuivre cet amour
Continuer à être amoureuse
Dans tes bras si heureuse...

Sans trop me poser de questions
Ni me soucier du "qu'en dira t-on"
Et savourer avec toi autant que permis
Tous ces moments où nous serons réunis

Sans me projeter dans l'avenir
Mais vivre et profiter du plaisir
D'aimer et de se sentir aimée
Par mon étoile préférée

Je ne peux t'accrocher, te garder, ni te retenir
Mais seulement au présent mon cœur t'offrir
Te dire que le cœur de ton amante est grand
Et que l'amour qu'elle a pour toi est géant

Te dire aussi que depuis ce soir de mars
Plus aucune journée dans la semaine n'est banale
Et que de te rencontrer m'a fait comprendre:
Ta présence m'est désormais devenue... vitale

Et quand parfois nous nous retrouverons
Nos coeurs et nos corps à l'unisson
Nous verrons tout là haut cet arc-en-ciel
Scintillant de ses couleurs les plus belles...

Sur la route de NOS vies...

Nos chemins se sont croisés à un carrefour
Et depuis le temps s'est arrêté comme pour...
Nous laisser nous aimer et nous choyer
Laisser pour toujours les étoiles briller...

La vie va enfin tous les deux nous réunir
Et je peux vraiment tout mon cœur t'offrir
Si les étoiles ne cessent de scintiller
Tu es la seule qui me fasse briller

Et sur le carrefour de nos chemins
Mon amour, viens, prends ma main...
Viens, approche, regarde moi, je te souris
Sais tu que tu es l'amour de ma vie?

Je suis une femme comblée et amoureuse
Dans tes bras, près de toi, si heureuse
Tu es le plus beau de tous les soleils
Notre rencontre fut une merveille

Nous avons chamboulé notre destin
Yeux dans les yeux, main dans la main
Ensemble prenons un nouveau chemin
Pour y parler de notre lendemain

La Terre pourrait s'arrêter de tourner
Que nous continuerions à nous aimer
Serre fort cette main que je te tend
Car je t'aimerai jusqu'à la fin des temps

Sur la route de ma vie
J'ai rencontré le vrai Amour
Sur la route de nos vies
Aimons nous pour toujours

Tu est ma route

Passe ta main dans mes cheveux
J'adore tes caresses, je serai douce, si tu veux
Caresse ma bouche de tes lèvres,
Ne t'inquiète pas elle te sera offerte.

Câline moi, j'aime ça,
La tendresse met mes sens aux abois.
Tout doucement, effleure mon corps
Tes mains me frôlent, sur mon cœur, glissement de tes doigts.

Mains caresse,
Mains tendresse,
Corps enlacés,
Pliant sous te baisers.

L'amour comme une flamme ravage mon cœur,
Il s'arque boute sans pudeur,
Je t'aime d'amour et j'aime ce bonheur,
Bonheur de nos nuits d'amour avec douceur

Câlins, j'aime tant, tu le sais bien,
Je ne reste pas inactive, tu aimes bien
Mes lèvres parcourent ton corps,
De ton corps, j'aime le parfum, mi amore.

Quand mes lèvres atteignent le point plaisir,
N'attendons plus, tu n'es que désir
Désir de nos corps brulants, inassouvis
Désir de nos cœurs qui battent en harmonie.

Nos corps enlacés, enchevêtrés ne font qu'un,
Allons, ne pensons plus à rien,
Juste au feu qui brule en nous, ça s'appelle l'amour
[color=indigo]Amour et désir ne font qu'un, je veux qu'ils brulent toujours
je t'aime

J’aimerais voir dans tes yeux ce que tu ressens,
Pour pouvoir te réconforter lorsque c’est le moment.

J’aimerai voir dans tes yeux,
Pour pouvoir te comprendre sans te parler,
Pour pouvoir savoir toute la vérité.

J’aimerai voir dans tes yeux,
Pour savoir si tu m’aimes.

J’aimerai voir dans tes yeux,
Pour connaître tes sentiments à mon égard.

J’aimerai voir dans tes yeux,
Si je suis la seule qui compte pour toi.

J’aimerai voir dans ton cœur,
Pour savoir si entre nous il y a une lueur.
Une lueur d’amour, d’espoir ou d’amitié ;

Mais j’aimerai encore plus voir ton regard,
Car c’est lui qui me donne envie de sourire,
Qui me donne envie de t’aimer,
Qui me donne envie de ne jamais t’oublier….

Je t'aime encore et toujours