LA FOLIE DES POETES

Toi qui me manque

Ce soir tu n'es pas là
Et je suis en manque de toi
J'aurais voulu m'endormir dans tes bras
Et ne plus penser qu'à toi

Être allongée à tes côtés
Et t'écouter doucement respirer
Tendrement te caresser
Et puis follement t'aimer

J'aurais voulu faire l'amour
Et que ne naisse jamais le jour
T'aimer encore et toujours
Mais je dois attendre jour après jour

Attendre ces moments de bonheur
Ces moments qui font battent mon cœur
Qui sont fait de velours et de douceur
Alors dès à présent je compte les heures

Est-ce un rêve d'être aimé pour toujours ?

Du plus loin que je me souvienne
J'ai rêvé d'être aimé pour moi-même
Ce jour est arrivé enfin
Lorsque tu as croisé mon chemin

Mais je continue de rêver malgré moi
Car la vie à ces aléas
Même si nos routes se sont rapprochées
Elles ne peuvent pas être liées

Car seul dans la vie tu ne l'ai pas
Et je voudrai t'avoir tout à moi
Mais j'ai quand même envie d'espérer
Qu'un jour tu es envie d'être à mes côtés

Mon amour pour toi est chaque jour plus fort
Et je voudrais t'aimer encore et encore
Mon amour crois tu qu'un jour
Tu pourras m'aimer pour toujours

Je n'attends pas de réponse à cette question
Car ce n'ai que le reflet de mes émotions
J'ai simplement envie que mes rêves
Deviennent un jour réalité

Voguer vers le bonheur

Comme une tempête sur la mer
Tu as fait chavirer mon cœur
Comme le soleil qui scintille sur les flots verts
Ta lumière est entrée dans ma vie telle une lueur

J'aimerais plonger mon regard dans le tien
Et flotter sur cette vague de douceur
M'éveiller à tes côtés tous les matins
Et voguer sur l'océan du bonheur

J'aimerais doucement prendre ta main
Et guider tes pas vers le bonheur
Faire ensemble un bout de chemin
Et pouvoir enfin ignorer la peur

Je vivrais bercée par ton amour
Qui au fil des jours grandirait
Je serais auprès de toi pour toujours
Et connaîtrais enfin la paix

L'ENNEMI.

Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage,
Traversé çà et là par de brillants soleils ;
Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,
Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils.

Voilà que j'ai touché l'automne des idées,
Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux
Pour rassembler à neuf les terres inondées,
Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux.

Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve
Trouveront dans ce sol lavé comme une grève
Le mystique aliment qui ferait leur vigueur ?

- Ô douleur ! ô douleur ! Le Temps mange la vie,
Et l'obscur Ennemi qui nous ronge le cœur
Du sang que nous perdons croît et se fortifie !

POEME DU BONHEUR

On se persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure après s'être
marié, après avoir eu un enfant, et ensuite, après en avoir eu un autre...
Plus tard, on se sent frustré, parce que nos enfants NE sont pas encore
Assez grands et on pense que l'on sera mieux quand ils Le seront.
On Est alors convaincu que l'on sera plus heureux
Quand ils auront passé cette étape.
On se dit que Notre vie sera complète quand les choses iront mieux pour
Notre conjoint, quand on possédera une plus belle voiture ou une plus
Grande maison, quand on pourra aller en vacances,
Quand on sera à la retraite...
La vérité Est qu'il n'y a pas de meilleur moment
Pour être heureux que Le moment présent.
si ce n'est pas maintenant, quand serait-ce?
La vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de projets à terminer.
Il Est préférable de l'admettre et de décider d'être heureux
Maintenant qu'il Est encore temps.
Pendant longtemps, j'ai pensé que ma vie allait enfin commencer, ' La Vraie
Vie! 'Mais Il y avait toujours un obstacle sur Le chemin, un problème qu'il
Fallait résoudre en premier, un thème non terminé,
Un temps à passer, une dette à payer.
Et alors la vie allait commencer ! ! ! !
Jusqu'à ce que je me rende compte que
Ces obstacles étaient justement ma vie.
Cette perspective m'a aidé à comprendre
Qu'il n'y a pas un chemin qui mène au bonheur.
Le bonheur Est Le chemin.
Ainsi passe chaque moment que nous avons et plus encore :
Quand on partage ce moment avec quelqu'un de spécial, suffisamment spécial
Pour partager Notre temps et, que l'on se rappelle que Le temps n'attend pas.
Alors, Il faut arrêter d'attendre de terminer ses études, d'augmenter son
Salaire, de se marier, d'avoir Des enfants, que ses enfants partent de la
Maison ou, simplement, Le vendredi soir, Le dimanche matin, Le printemps,
l'été, l'automne ou l'hiver, pour décider qu'il n'y a pas de meilleur
Moment que maintenant pour être heureux.
LE BONHEUR EST UNE TRAJECTOIRE ET NON PAS UNE DESTINATION !
Il n'en faut pas beaucoup pour être heureux.
Il suffit juste d'apprécier chaque petit moment et de Le sacrer comme l'un
Des meilleurs moments de sa vie.

Un soir d'été, dans l'air harmonieux et doux,
Dorait les épaisses ramures ;
Et vous alliez, les doigts rougis du sang des mûres,
Le long des frênes et des houx.
Ô rêveurs innocents, fiers de vos premiers songes,
Coeurs d'or rendant le même son,
Vous écoutiez en vous la divine chanson
Que la vie emplit de mensonges.
Ravis, la joue en fleur, oeil brillant, les pieds nus,
Parmi les bruyères mouillées
Vous alliez sous l'arôme attiédi des feuillées
Vers les paradis inconnus.

Et de riches lueurs, comme des bandelettes,
Palpitaient sur le brouillard bleu,
Et le souffle du soir berçait leurs bouts en feu
Dans l'arbre aux masses violettes.
Puis, en un vol muet, sous les bois recueillis,
Insensiblement la nuit douce
Enveloppa, vêtus de leur gaine de mousse,
Les chênes au fond des taillis.
Hormis cette rumeur confuse et familière
Qui monte de l'herbe et de l'eau,
Tout s'endormit, le vent, le feuillage, l'oiseau,
Le ciel, le vallon, la clairière.
Dans le calme des bois, comme un collier divin
Qui se rompt, les étoiles blanches,
Du faîte de l'azur, entre les lourdes branches,
Glissaient, fluides et sans fin.
Un étang solitaire, en sa nappe profonde
Et noire, amoncelait sans bruit
Ce trésor ruisselant des perles de la nuit
Qui se posaient, claires, sous l'onde.
Mais un souffle furtif, troublant ces feux épars
Dans leur ondulation lente,
Fit pétiller comme une averse étincelante
Autour des sombres nénuphars.

Chaque jet s'épandit en courbes radieuses,
Dont les orbes multipliés
Allumaient dans les joncs d'un cercle d'or liés
Des prunelles mystérieuses.
Le désir vous plongea dans l'abîme enchanté
Vers ces yeux pleins de douces flammes ;
Et le bois entendit les ailes de vos âme

Je suis comme je suis
Je suis comme je suis
Je suis faite comme ça
Quand j'ai envie de rire
Oui je ris aux éclats
J'aime celui qui m'aime
Est-ce ma faute à moi
Si ce n'est pas le même
Que j'aime chaque fois
Je suis comme je suis
Je suis faite comme ça
Que voulez-vous de plus
Que voulez-vous de moi

Je suis faite pour plaire
Et n'y puis rien changer
Mes talons sont trop hauts
Ma taille trop cambrée
Mes seins beaucoup trop durs
Et mes yeux trop cernés
Et puis après
Qu'est-ce que ça peut vous faire
Je suis comme je suis
Je plais à qui je plais

Qu'est-ce que ça peut vous faire
Ce qui m'est arrivé
Oui j'ai aimé quelqu'un
Oui quelqu'un m'a aimée
Comme les enfants qui s'aiment
Simplement savent aimer
Aimer aimer...
Pourquoi me questionner
Je suis là pour vous plaire
Et n'y puis rien changer.

il y a presqu'un an, tu as posé tes ailes
sur les lieux d'un drame, jouant un air mortel
je gisais là, en bas, entourée des débris
la voiture en morceaux, cabossée, amoindrie

je hurlais de douleur, des cris remplis d'effroi
un son mêlé d'horreur, étouffé par le froid
mon esprit torturé, par des pensées macabres
s'entrechoquaient en moi, dans de vaines palabres

je voulais m'en aller, ailleurs, loin de la terre
Monter sur tes ailes, rejoindre le mystère
Ne plus porter de croix, connaître enfin la paix
Reposer mon âme sur un nuage épais.

Finis les durs combats, de match perdus d'avance
De grands coups encaissés, donnés par la malchance
Jouer contre le sort, avaient tiré mes forces
Mon corps et mon esprit étaient en plein divorce!

Mais toi...tu as su me protéger de moi même
Me libérer du mal , sortir de ce dilemme
tes mains veillant sur moi, ont emporté mes larmes
Au delà des étoiles, me laissant les armes

tu m'as rendu l'espoir, fait naître en moi l'envie
Me guidant pas à pas, sur la voie de la vie
Un parcours d'embuches, mais au bout, le bonheur
Ce joyau recherché, maintenant, dans mon coeur

N'oublie pas que tu as le droit de pleurer...
Oui tu as le droit d'avoir peur, d'avoir mal...
Tu as le droit de te sentir trahi...
et d'émettre ton opinion...
Tu as aussi le droit de RÊVER...
même si il y a des avis contraires...
Tu as le droit de hurler ta peine
ou de crier ta joie de vivre...
Pense à toi... fais-le pour toi...

Pas pour leur prouver que tu es
comme ils veulent que tu sois...
Pas non plus parce que tu as peur
d'être jugé, ils te jugeront de toute façon...
Pas non plus parce que tu as peur de la solitude...
Tu te sentiras bien seul même si ils sont près de toi...
Si tu fais quoi que ce soit...
fais-le pour toi...
Pense à toi...

Chasse le négatif en toi...
le positif n'est pas bien loin...
Ne te compare pas aux autres...
tu es très bien toi-même...
Si tu pouvais lire au fond de chacun d'eux...
Tu y découvrirais sûrement qu'ils sont
beaucoup plus malheureux que toi.
Fais-toi plaisir pense à toi...
Fais-le pour toi...

Car si tu ne le fais pas, personne ne le fera...
Tu le sais ça. Accepte-toi tel que tu es...
Tu as des qualités et des défauts...
Mais eux aussi en ont...
Et tous ceux qui t'aiment vraiment resteront à tes côtés...
Ils t'appuieront quoi que tu fasses...
Leurs mains resteront sur ton épaule
pendant tout ce temps...
Et si tu t'aperçois que l'un d'eux t'abandonne...
Dis-toi que son amitié ou son amour était superficiel...
Alors si tu fais quoi que ce soit, en tout
premier pense à toi...

Il faut croire aux étoiles
Qui te disent, ne tremble pas
La vie n'est qu'une escale
Tous les hommes sont comme toi

Quand les feuilles mortes
Tombent sur ton cœur
Pour laisser la porte
S'ouvrir au bonheur
IL FAUT CROIRE AUX ÉTOILE
Tes angoisses et tes tourments
Ne sont qu'un grain de sable
Qu'une larme dans l'océan

Moi dans le silence
D'une belle nuit
J'ai repris confiance
J'ai trouvé l'oubli

Il faut croire aux étoiles
Jusqu'à l'aube du dernier jour
Il faut croire aux étoiles
À la chance et à l'amour

Pour toi, c'est une histoire ancienne
Pour moi, ça n'a jamais fini
Et trop souvent me reviennent
Tes yeux bleus pleurant sous la pluie

Même si mes vies me conviennent
Et même si tout m'a réussi
Rien n'effacera la scène
Des yeux bleus pleurant sous la pluie

Et je prends les jours comme ils viennent
Pour me faire croire que j'oublie
Ces yeux d'où coulait ta peine
Cette eau bleue où filait ma vie


Et loin dans mes nuits bohémiennes
Toujours, une voix me dit
Que j'ai laissé une reine
Les yeux bleus pleurant sous la pluie

Un soir d'automne tout gris
Est apparu un petit groupe d'amis
Qui m'a invité à faire partie
De leurs soirées de folie...
La grisaille disparait peu à peu
J'ai trouvé des gens heureux
De m'apporter du réconfort
Moi qui n'allait pas fort...
Nathalie, Claudine et Pierrot
Vous me faites voler si haut
Que dans nos délires du soir
J'en oublie presque mon désespoir...
Le net nous réunit souvent
Nos soucis sont emportés par le vent
Nous redevenons des enfants
Avec des rires insouciants...
Merci Nathalie de m'avoir invitée
Merci Claudine de m'avoir acceptée
Merci Pierrot de m'avoir aussi adoptée
Merci à vous trois d'être vous !!!
Si j'étais la fée du bonheur
Je remplirai votre cœur
De tendresse et de douceur
Pour un avenir bien meilleur...
Votre amie mari

Si je vous appelle princesse,
Ce n'est pas par politesse
Mais bien par gentillesse

J'aurais pu vous appeler déesse
Car mon amitié sans noblesse
Me vaut votre jeunesse

Votre bonté n'est pas banale
Et votre beauté presque fatale
Tout comme le scintillement
D'une pierre de cristal

Notre amitié nous vient du cœur
Ensemble on oubliera nos malheurs
Pour y découvrir joie et bonheur
Et si je vous trouve tellement belles
C'est que vous êtes pour moi
Des douces gazelles

Lorsque je vous vois je suis comme un roi
Et vous mes reines dont le parfum m'enivre de joie
Sans contestation, à tort ou à raison
Nous resterons de très bons compagnons
Ce n'est pas une maladresse, de rêver tout en sagesse
Mais je veux profiter de votre immense tendresse
Sans loi ni désarroi,
Vous resterez pour moi
Ma plus belle source de joie

Vous êtes si jolies, que même à l'infini ou sous la pluie
Je garderais en moi le souvenir de vos corps aux senteurs fleuries
C'est pour moi un immense bonheur
De cueillir ses senteurs de fleurs
Et de les garder près de mon cœur
Jusqu'à ma dernière demeure
Vous me semblez si jolies
Que moi du haut de ma prairie
Je chanterais cette douce mélodie
« la vie me ravit de vos corps aux senteurs fleuries »

Le jour se lève dans mon cœur
Enfin une nouvelle lueur
Vient illuminer ma vie
Nous sommes des amis...
Avec vous je voudrais
Tant voir le soleil se lever
Admirer les gouttes de rosée
Sur toutes ces fleurs dorées...
Tels des diamants nos yeux
Se fixent en rêvant aux jeux
De l'amitié entre nous tous
Mais est-ce un jeu pour nous ...
Nos pensées rejoignent le firmament
Et nous projettent d'un pas de géant
Vers un avenir rempli d'amour
Et aussi d'amitié pour toujours...
Rêveries vous qui égayez ma vie
Rêveries vous qui peuplez mes nuits
Rêveries avec vous mes amis

Elle était charmante et délicieuse, dans son regard fuyant
Mille choses m�apparurent, mille choses ignorées et désirant
J�y vie des profondeurs inconnues, tout le charme des tendresses
Toute la poésie que je rêvais, et tout le bonheur dans une caresse
J�avais un désir fou d�ouvrir mes bras, de l�emporter pour toujours
Et de lui murmurer à l�oreille la suave mélodie des paroles d�amour.

Ses yeux au regard éclatent et légèrement brillant
De quelques larmes de désir qui se faisait grandissante
Son corps parfumé, frémissant au toucher, presque tremblant
Comme une rose aux pétales de velours caresser par le vent
Saisissant se nuque sous une majestueuse chevelure doré
Descendis le long de son corps en frôlant ses reins cambré.

Dégrafant doucement son corsage me laissant contemplé
Deux beaux seins a peine voilé de dentelles ajourées
Qui frémis sous mes mains au rythme de son c�ur
Son souffle irrégulier, je m�enivre de sa douce tiédeur
Elle était une fleur ou chaque rayon de soleil serait le plaisir
D�un regard humide comme une pluie pour assouvir tous ses désirs.

Je dévoilais les parties de son corps plus sensibles au toucher
Butinais cette fleur comme une abeille sur une rose en été
L�instant devenais magique, sa chevelure recouvrait mon visage
De son regard féline aux instincts de désirs les plus sauvage
Je compris à cet instant qu�elle se ferait beaucoup moins sage
D�un divin geste du corps, venait de prendre possession de mon âme.

L�amour intense qui pénétrait très délicatement en elle
Lui provoquent quelques gémissement de désir charnelle
L�amour ne faisait plus qu�un, plonger par les mêmes envies
Dont chaque mouvement précis de son corps vers les étoiles
Envahissait le miens d�un extrême désir.

D�un crie de jouissance intense, l�amour jaillissait en elle
Tel un grondement de volcan projettent sa lave vers le ciel
De ses moments merveilleux aux goûts d�un parfait élixir
Transporte nos âmes dans le fabuleux voyage du plaisir

Une bien triste histoire
Il était né un soir de clair de lune a la porte du printemps
Il était né sans rien, tout petit mais il attendait tellement
Il n'avait que sur lui sa douce et jolie peau toute rose
Sans se soucier de savoir si la vie serait belle ou morose

Il grandissait jour après jour au rythme des saisons
Cueillant et ramassant tout ce qu'il n'avait pas compris
Et le gardait en lui pour en tirer quelques profits
Il se réjouit de son beau talent et qu'on appelait un don
Un talent qui devenait pour lui un véritable hobby

Il avait découvert ses premières années de bonheur
Qu'il garderait intactes tout au fond de son cœur
Dix ans seulement, et devait apprendre la souffrance
Mais ne savait pas qu'il en connaîtrait jamais la délivrance

Les déchirures et les séparations d'adultes pris en adultère
Seraient pour lui la source de ses toutes premières galères
Il devait suivre des inconnus et quitter le monde des siens
Sans réellement comprendre, il n'était pas un enfant crétin
La seule et bonne raison qui était pris pour cette barrière
C'est qu'il était venu au monde sur cette bonne terre

Il se retrouvait seul dans une propriété pour orphelin
Ne voyant plus devant lui ce qu'allait être son destin
Se posant la question «pourquoi» et que tout serait fini
Et pris d'un vaste sentiment de vouloir mettre fin à sa vie

Mais il grandissait et parcourait celle ci vers d'autres chemins
Espèrent qu'un jours il croiserait l'amour d'un bonheur divin
Il le trouvait en croisant le regard d'une charmante demoiselle
Se disant qu'enfin, la vie serait peut être beaucoup plus belle

Quelques années plus tard, sans le prévoir une journée allait le trahir
Une de ses journées de sa vie qui allait une nouvelle fois le meurtrir
Elle venait de lui dire sans aucune raison, nous deux c'est terminer
Il prit le premier train poursuivre son chemin sans jamais se retourner

Parcourait les villes, le cœur brisé gardant en lui quelques belles pensées
Acceptant sur son parcours, les petits bonheurs et joies au fil des années
Aujourd'hui il recherche toujours quelque part celle qui partagerait sa vie
Et peut être qu'un jours connaître se qu'est le véritable amour à l'infini

Je crois savoir, moi qui raconte cette bien triste histoire
Qu'il ait persuadé, et ce depuis son plus jeune age
Que la vie peut être aussi belle et vous couvrir de bonheur
Que tellement mauvaise, et à jamais vous briser le cœur

La vie est un vaste terrain de jeux
Sur lequel certains sont heureux
De découvrir un monde merveilleux
Dans lequel ils sont amoureux...
L'automne apporte ses couleurs
Le vent sème les rumeurs
Les oranges chatoyants de la nature
Ne me font pas oublier la rupture...
L'hiver blesse mon cœur
Un ange passe dans la douceur
Elle est entrée dans son univers
Il a oublié tout ce qui était hier...
Nous deux n'existons plus pour lui
Maintenant c'est elle et lui
Il gèle sur ma vie
Je n'ai plus d'envie...
Au printemps l'ange est reparti
Laissant son cœur meurtri
Le gout amer des larmes
Étant ses seules armes...
Je suis toujours là à attendre
Que sa main il puisse me tendre
Que son cœur veuille s'ouvrir
Pour enfin ne plus souffrir...
Les jours, les mois, les années
Passeront, jamais je n'oublierai

Une étoile s'allume dans la nuit
Un moment de tendresse avec lui
Une légère brise dans mes cheveux
Fait vibrer mon cœur amoureux
Sur l'océan une vague bleue
Me rappelle la couleur de ses yeux
Les feuilles d'automne tourbillonnent
Comme mon cœur papillonne
Un oiseau prend son envol
Moi je reste clouée au sol
Un orchestre joue sa symphonie
Nous sommes en harmonie
Son sourire me donne des ailes
Je me sens la plus belle
Je me serre de plus en plus près
De lui qui me fait rêver
Si un jour arrive mon heure
Je serai la plus heureuse
Si un jour il fait mon bonheur
Je lui offrirai mon cœur
Si un jour il veut ma vie
Je la lui donnerai à l'infini...
Ceci est un rêve
C'est aussi la vie...