LA FOLIE DES POETES

Pour la poésie,tout est permis on ne saurait en vouloir aux mots qui s'incrivent dans une poésie: qu'elle soit amoureuse LA FOLIE DES POETES 743922

,passionnée LA FOLIE DES POETES 402518

,révoltée

, sensuelle LA FOLIE DES POETES 164654

,tourmentée,douce...la poésie est LIBRE ................. LA FOLIE DES POETES 32681

et se passe de commentaires donc je n'en mettrai aucuns...simplement j'y viendrai comme tous y mettre les miennes.

Poètes fou d'amour LA FOLIE DES POETES 158133

des mots.......ne vous en privez pas. LA FOLIE DES POETES 699415

bonjour Victoria...

la poésie reflète souvent des instants heureux mais pour ma part, j'ai pris souvent la plume pour retranscrire mes émotions de tristesse, mes pensées "noires". Il m'est plus facile d'écrire lorsque je me sens incertaine, patraque que de parler. Peut-être parce que j'ai connu davantage de moments sombres, de trahison et que je peux garder mes écrits pour moi mais cela, tu l'as bien compris dans le sujet sur la confiance.
Je ne les présente que très rarement de peur de choquer mes proches qui pensent souvent que je vais bien alors que je confie mes souffrances sur un morceau de papier qui laisseront une trace indélébile. Cependant, les mots soulagent, m'apportent de la sérénité au fond de moi...
Parfois la poésie me permet aussi de m'exprimer sur quelqu'un qui m'a apporté du bon.
Les mots écrits parlent à ma place...

Quelques extraits...

"J'écume ses mots,
Je dévoile mes maux,

Fragilité me définit,
Terreur me poursuit,

Je ne vis plus,
Je meurs un peu plus..."

nov 07

"Si l'indicible pouvait s'exprimer
les mots ne seraient à inventer
les rêves ne seraient provisoires
il suffirait simplement d'oser y croire"

mars 06

Trahison

La vie n'est que malheur pour moi la vie pleure
Ma vie est une fleur qui ne fleurie pas et qui meurt
La vie est une lueur au coin d'un cour
Le bonheur qui attend l'heure
L'heure de l'amour la joie l'envie et la vie !

Le grand désespoir qui ne te dit jamais au revoir
Qui te poursuit et qui te fuit !
On lui dit oui car notre ouïe est détruit
On est aveugle on y voit plus rien !

Un jour elle m'a dit oui un autre elle est partie
Et oui
Elle a dit oui à un autre prétendant et moi j'ai subit l'attente
Entente il n'y avait plus !
Conflits, querelles et trahison j'ai mordu à l'hameçon
J'ai enfin tiré une leçon on ne m'y reprendra plus
L'attente est là, mais l'amour n'est plus !

Trop de souffrance d'attente et d'amour
Trop de rêves qui ne sont pas à sa porté l'envie d'aimer
mais surtout de recevoir à son tour.
Et pourtant je l'aimais si fort !

LA FOLIE DES POETES 585587925

(je parles ici du marquis de Sade ainsi que de tout ceux qui pour assouvir leur soif immonde du sexe ont déchirés des vies de nos jours ça continue encore.....et ce sont les enfants qui en sont victimes.)
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Triste sire,êtes-vous ainsi paré des plus vils artifices,
Suscitant les désirs,abcès de jalousie ou supurent vos complices.
]
De votre millésime,perfidie du sadisme,
Baignant dans vos délices le sang de vos victimes.

Votre titre Marquis est resté un délit, LA FOLIE DES POETES 999369

Que d'autres relèvent dans un défi.

Petits ou bien Ministre ce n'est que paronyme,
Qui usurpent vos vices avec grande malice.

De vos larges prouesses"Marquis" vous n'êtes que bassesse.
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Ou dois-je aller cueillir les fleurs sauvages dites moi?
Quand je vois le vent tourner autour de vos sillages!
Je n'ais pas oublier les faveurs du passé,en vous je crois
Dans ce monde où toute raison a perdu son langage.

Que de nons dits portés scellés des fonds des âges! LA FOLIE DES POETES 379779

Et que d'obscurités,amis vous avez depuis dévoilés.
Au coeur des esprits connaissant votre courage,
Ennemis des obscurités,des ombres sans pitiés.

Amis, sur la couche de rosée je déposes le bagage,
Des pires peines soulevées de tout vos protégés.
En y mettant mes larmes,vos joies seront mon arme,
Avant de repartir vers le monde ou je suis née.

Jusqu'à me faire mourir de mes tourments passé

Je ne suis pas loin,
je suis seulement passé dans la pièce à côté.
Je suis moi. Vous êtes vous.
Ce que j'étais pour vous, je le suis toujours
Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné,
parlez-moi comme vous l'avez toujours fait.
N'employez pas un ton différent,
ne prenez pas un air solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble
Priez, souriez
pensez à moi,
priez pour moi
Que mon nom soit prononcé à la maison
comme il l'a toujours été,
sans emphase d'aucune sorte,
sans une trace d'ombre
La vie signifie tout ce qu'elle a toujours été.
Le fil n'est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de vos pensées,
simplement parce que je suis hors de votre vue?
Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin...

Je n'oublierai jamais
nos baisers volés
Je n'oublierai jamais
nos nuits blanches, couchés sous ce ciel étoilé
Je n'oublierai jamais
nos regards si profonds et passionants qu'on s'envoyait
Je n'oublierai jamais
cette nuit là où nos deux corps s'étaient fusionnés
Je n'oublierai jamais
le jour où nos lèvres s'étaient touchées
Je n'oublierai jamais
les instants où tes bras avaient enlassés mon corps comme pour le protéger
Je n'oublierai jamais
comment mon coeur t'as aimé
et comment toi
tu l'as
laissé.

Ou es-tu?

Du jour au lendemain, tu as disparu.
Tu n'as laissé aucune trace derrière toi.
Il y a si longtemps que je ne t'ai pas revu...
Est-ce la mort qui t'aurait emporté loin de moi ?

Je m'efforce de ne pas laisser ma tristesse paraître
mais c'est de plus en plus difficile.
Mais enfin où peux-tu bien être ?
Pourquoi poursuis-tu cet exil ?

Toi, mon ange gardien, ma raison de vivre,
pourquoi t'en es-tu allé aussi vite ?
Je n'ai rien fait pour que, de toi, on me prive
Pourquoi aussitôt est-ce que tu me quittes ?

Je ne peux me retenir une seconde de plus
j'en ai marre de me plaindre,
je dois aller te rejoindre
mais où es-tu ?

Ainsi donc mes amies je vous lis,oui!
Même dans mes absences pour écouter vos coeurs et partager avec vous le bonheur ( que la joie et la tristesse enseignent )
et je me dis vraiment voilà,j'ai cette chance que vous existez tout simplement et c'est beau. LA FOLIE DES POETES 379779

Victoria

A mon papa

Tu es en larmes sur ton lit
Craignant que tout ne soit fini
Tu as appris que le cancer
Guette ta vie et cause tes misères.
Je sais c'est dur,
Mais reste fort, ne t'avoue pas vaincu.
Je sais c'est dur,
Mais n'abandonne pas, sinon tout sera perdu...

Continue de sourire à la vie,
Ne délaisse pas ta manie,
D'aimer les autres et de profiter
De toutes ces belles années.

Jez:Il y a des souffrances que l'on partage avec le coeur,des cris comme les tiens qui sont suspendus à l'espérance de la vie,des pleurs qui viennent avec les questions du pourquoi?Et puis la vie, ta vie qui n'en fini pas de te dire de la regarder avec le sourire de l'apaisement d'avoir assez souffert! un peu de repos dans ton coeur Jez non pas pour oublier car rien ne s'oublie,mais pour que toi aussi tu prenne le phrase si joliment dite (Aujourd'hui est un jour à la hauteur de cette prière,d'aimer ta vie).Admettre la tristesse et l'injustice sans perdre la confiction que la vie offre aussi des cadeaux.C'est tout ce que je te souhaites

LA FOLIE DES POETES 379779

il y a ces moments dans notre existence où l'on croit tout avoir
Et puis finalement on s'aperçoit que l'on possède bien peu
Alors on continue de vivre à la recherche d'un possible espoir
On attend qu'enfin peut-être soit exaucé nos voeux

Mais la vie est tout sauf un magnifique conte de fée
Ici pas de prince charmant ni de douce et belle princesse
C'est beau d'y croire, cela ne risque vraiment pas d'arriver !
La lame de l'amour à défaut de nous tuer nous blesse

Pourtant dans les ténèbres les plus profondes existe la lumière !
Mais prenez garde car les mirages sont décidemment trop nombreux !
A trop vouloir chercher le Paradis on atterri souvent en Enfer !
A croire que tout cela n'est rien d'autre qu'un macabre jeu !

Tant qu'il y'aura de l'espoir, il y'aura sans doute toujours de la vie
Mais ce monde sombre maintenant dans la douleur et dans la haine
Partout résonnent des millions de pleurs et d'effroyables cris !
Tout est en train de pourrir, la Terre aurait-elle attrapé la gangrène ?

Dans ces conditions comment peut-on garder le sourire aux lèvres ?
Je plains nos futurs enfants qui ne trouveront qu'une immonde poubelle
Une société dans laquelle pour une simple cigarette refusé tu crèves
La poudre est déjà en place, il ne manque plus qu'une étincelle...

Pourquoi la vie a-t-elle choisi
Que tu aies cette maladie?
Je ne pourrais probablement
Jamais répondre à cette question
Qui malgré toute ma raison
Me tourmente incessamment.
Mais à travers toute la peine
Que tu pourras éprouver
Et malgré toute la haine
Que tu devras surmonter
Saches que je serais toujours là
À chaque épreuve que tu traverseras
Pour effacer tes peurs et tes angoisses
Qui feront certainement surface
Car mon souhait le plus précieux
C'est que toi, papa, tu vives
Aussi longtemps que possible
Car te voir partir pour moi serait inadmissible

Il y a des instants où la nostalgie nous gagne,
Sans comprendre pourquoi,
Mon esprit est occupé par Lui,
Par Toi...

C'était il y a des mois,
Tu arrondissais mon ventre,
Nous attendions un enfant,
Un prince ou un princesse...
Un prénom inventé rien que pour toi

L'attente de te voir était si pressante,
La rencontre que j'espérais était omniprésente,
Aurais-tu mon regard ou celui de ton Papa ?
J'avais tellement hâte de te serrer contre moi...

Quand j'ai regardé le calendrier,
Mon coeur s'est serré.
Tu aurais dû avoir ton anniversaire dans les jours à venir,
Pourtant je ne t'entends pas,
Tu n'es qu'un souvenir...
Parce qu'un chauffard a décidé autrement de ton avenir...

Ma si douce Colombe,
Tu es de ces instants trop courts,
Qui marquent une vie
Et qu'on aime pour toujours...

Des année aujourd'hui
Nous séparent toi et moi,
Tu es cette nostalgie que je ne comprenais pas...

Mon ange,
Je t'aime ne l'oublie pas...

De ton joli nuage tu veilles sur nous,

Il y a,

Assez d’amour,
Pour toi,
Ne le vois-tu pas ?
Cherche,
Et tu trouveras,
Que partout,
Même en toi,
Il y a,
Assez d’amour,
Pour toi,
Cherche,
Et tu verras,
Que partout,
Pour tous,
Il y a,
Assez d'amour,
Pour qu'enfin cessent,
Tous les cruels combats…

LA FOLIE DES POETES Reflet10

AMOUR

Il y a des choses qui compte pour moi et la première est d'être avec toi.

Je t'aime, c'est ma plume qui te l'écris Et c'est mon coeur qui te le dit.

Cet amour tout entier si vivant encore et tout ensoleillé c'est le tien c'est le mien.

J'étais à toi peut-être avant de
t'avoir vu. Ma vie, en se formant, fut promise à la tienne ; Ton nom
m'en avertit par un trouble imprévu Ton âme s'y cachait pour éveiller
la mienne.

Je suis perdu, vois-tu, je suis noyé,
inondé d'amour ; je ne sais plus si je vis, si je mange, si je respire,
si je parle ; je sais que je t'aime.

Toi

J'ai tellement hâte De pouvoir te voir
Sentir tes lèvres si douce Contre les miennes De collé mon corps Contre
le tien Et de pouvoir me réchauffer Tout en te collant Car tu comptes
énormément Pour moi Je t'aime Et je t'aimerai pour le restant De nos
jours !
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Lorsque la lune vient pleurer

Sur les tombes des fleurs fidèles

Mon souvenir vient t'effleurer

Dans un enveloppement d'ailes.

Il se fait tard, tu vas dormir

Les paupières déjà mi-closes...

Dans l'air des nuits on sent frémir

L'agonie ardente des roses

Sur ton front lourd d'accablement

Tes cheveux font de légers voiles

Dans le ciel brûle infiniment

La flamme blanche des étoiles

Et la Déesse du Sommeil

De ses mains lentes fait éclore

Des fleurs qui craignent le soleil

Et qui meurent avant l'aurore

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Mon éternel amour, te voici revenue.

Voici contre ma chair, ta chair brûlante et nue.

Et je t’aime, et j’ai tout pardonné, tout compris;

Tu m’as enfin rendu ce que tu m’avais pris.

J’oublie en tes doux bras qu’il fut des jours haïs,

Que tu m’abandonnas et que tu me trahis.

Qu’importe si jadis le caprice des heures

Sut t’entraîner vers les amours inférieures?

Qu’importe un être vil? Son nom soit effacé!…

Je ne me souviens plus de ce mauvais passé.

Je ne me souviens plus que de ta face pâle

Lorsque tu fis le don suprême, dans un râle…

Et voici, comme hier, ton corps entre mes bras.

Ordonne, je ferai tout ce que tu voudras.

Comment ne point bannir toute ancienne querelle

Et ne point pardonner, en te voyant si belle?

Comment ne pas t’étreindre et ne pas abolir

Le souci, l’amertume et le long souvenir,

Et n’aimer point la nuit qui voit nos chairs liées,

Et mourantes d’amour et réconciliées?…

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LA FOLIE DES POETES Dyn004_original_175_200_gif_2577259_8d4ff485c88fb87f1b289a9d41d58d03

Jolie petite fleur
Ton parfum quel bonheur
Joli coquelicot
Qui chante et dit de jolis mots
Jolie marguerite
Toi seule à le mérite
De vivre et de t’épanouir
Pour ne jamais mourir

C’est la ronde des fleurs
chaque matin, dans mon coeur
certains jours, malgré mes pleurs
elles me comblent de bonheur
je leur parle durant des heures
avec sagesse et douceur

elles m’apportent leur candeur

j’ai l’âme tout en couleurs...

Un ami vous éclaire de la lune Et nous réchauffe du soleil Éloigne le vent sur la dune Calme notre sommeil

Un ami sait nous aider Sans demander en retour Il connait notre pensée Et partage sans détour

Un ami reste a nos cotés Il n'oublie pas notre peine Il sait réconforter Il ne connait pas la haine

Un ami accepte les sentiments Il les traite en douceur Il chasse les tourments Qui envahissent notre coeur

Un ami sera toujours la Malgré que
l'humeur Et les mauvais jours Change parfois l'ardeur 'amitié Je sais
il ne faut pas rêver Ca n'arrive pas souvent Que deux êtres différents
Connaissent l'amitié

Dans cet univers nouveau Ou chacun pense a lui Avoir de bons amis Je pense que c'est un cadeau

Je ne m'attendais pas a ca Découvrir la liberté Réaliser mes rêves passés L'amitié m'est donnée a moi

Moi qui était renfermée Qui errait dans
la peine Qui n'avait pas de vaine Je peux espérer maintenant Puisqu'on
a trouvé la clé Qui m'ouvre au présent


Un *petit ange part,* *Un petit ange vient;* *Et pour un ange qui part,* *Une étoile devient;* *Là-haut, bercé par les nuages,* *Sa maison n'est maintenant;* *Plus qu'une fleur en voyage,* *C'est une Rose, évidemment.* *Mais en bas, près de ses bagages,* *Un petit être gémissant,* *Veut retrouver son parent;* *Et du haut de sa montagne,* *Ce petit ange, calmement,* *Le rassure en lui disant,* *Que TOUJOURS il sera présent,* *Mais dans le coeur, évidemment*

LE PAPILLON

Un jour, j'étais assis dehors sur le banc,

Je pensais à tout et à rien;

Je me reposais tranquillement à l'ombre;

Soudain, je vis un papillon blanc,

Il avait l'air heureux.

Sans arrêt, il virevoltait,

Puis, il s'est posé un bref instant avant de reprendre son envol.

Il n'était jamais très loin de moi
Il avait l'air de me demander : "Tu ne veux pas venir avec moi, mon ami" ?

Hélas,
lui répondis-je, je n'ai pas d'ailes mais je vais m'en procurer pour te
suivre partout afin de pouvoir rester avec toi...!

Petit papillon, si doux et si gentil, viens, je ne te ferai pas de mal,

Toujours, je serai-là pour t'aimer et te protéger

Si vous aimez jardiner
Vous le connaissez
Ce petit passereau
Qui sautille à deux pas
A l’affût du vermisseau
Ou du moindre appât
Fruits de vos travaux
Voyez cet œil noir
Rempli d’espoir
La faim le rend hardi
Du jardinier il est l’ami
De son bec fin
Il happe sa proie
Il calme sa faim
Il fait notre joie

Au
large dans la mer, l'eau est bleue comme les pétales du plus beau
bleuet et transparente comme le plus pur cristal ; mais elle est si
profonde qu'on ne peut y jeter l'ancre et qu'il faudrait mettre l'une
sur l'autre bien des tours d'église pour que la dernière émerge à la
surface. Tout en bas, les habitants des ondes ont leur demeure. Mais
n'allez pas croire qu'il n'y a là que des fonds de sable nu blanc, non
il y pousse les arbres et les plantes les plus étranges dont les tiges
et les feuilles sont si souples qu'elles ondulent au moindre mouvement
de l'eau. On dirait qu'elles sont vivantes. Tous les poissons, grands
et petits, glissent dans les branches comme ici les oiseaux dans l'air.
A
l'endroit le plus profond s'élève le château du Roi de la Mer. Les murs
en sont de corail et les hautes fenêtres pointues sont faites de
l'ambre le plus transparent, mais le toit est en coquillages qui se
ferment ou s'ouvrent au passage des courants. L'effet en est féerique
car dans chaque coquillage il y a des perles brillantes dont une seule
serait un ornement splendide sur la couronne d'une reine.