LA FOLIE DES POETES

Des gens uniques, de par le monde,
Il en nait à chaque seconde.
Chacun de nous porte en soi
Une chose que les autres n'ont pas.
Les défauts et les qualités
Font un cocktail à mélanger
Pour obtenir ce petit gout
Celui qui n'appartient qu'à nous.

Les êtres humains sont si divers
Qu'il y a toujours sur la terre
Quelqu'un qui trouvera en nous
Ce qui lui manque par dessus tout.

Certains recherchent leurs contraires,
D'autres, c'est leurs semblables qu'ils préfèrent
Mais l'important c'est d'arriver
A s'accepter tel que l'on est.

Et chercher à s'améliorer
N'est pas forcément tout changer.
Quand on commence à s'apprécier,
L'entourage l'a vite remarqué,
Il essaie de savoir pourquoi
On se sent tellement sûr de soi.

Et tous ces gens qu'on admirait
Finissent par nous envier.
Car eux aussi, ils cherchent ailleurs
Ce qu'ils possèdent à l'intérieur.

À toi ange qui passe,
Sur ma vie de marées basses,
Je t’offre ces quelques vers,
D’amour et de lumière,
De nuits étoilées,
Pour te faire rêver,
De milliers de baisers,
Pour te faire chavirer,
Un océan de tendresse,
Et de douces caresses,
De tissus de soie,
Pour que tu te sentes près de moi,
Plonge dans mon regard,
Et tu oublieras tes cauchemars,
Des rires dans la nuit,
Pour pouvoir faire de tes nuits des rêveries,
Des matins de douceur pour égayer ton cœur,
De longues confidences,
Pour alléger mes souffrances,
De somptueux jardins,
Pour pourvoir marcher main dans la main,
Te montrer à nu mon Âme,
Pour te déclarer ma flamme,
À toi ange qui passe,
Chasse mes marées basses !

Assis l'un contre l'autre au clair de lune,
Cachés par quelques petites dunes,
La mer calme est à leurs pieds,
Ils parlent d'amour en toute simplicité
Le vent balaye doucement leurs visages,
Ils s'aiment tant, l'amour n'a pas d'âges,
Leurs mains se tiennent dans un élan,
De peur de se perdre... évidemment.
Ils ne parlent plus, ils balbutient,
Ils gravent juste ce fragment de vie,
Chacun écoute le rythme de son cœur,
Qui devient un hymne au bonheur.
Le silence se fait, ils goutent cet instant,
Où ils s'aiment comme de jeunes amants,
Combien de fois déjà se sont-ils vus?
Ils se découvrent encore à chaque venue.
Leurs yeux brillent dans la nuit,
L'instant est magique, presque infini,
Doucement ensemble, ils se lèvent,
C'est la fin de leur belle trêve.
Seul sur le sable restent leurs empreintes,
Leurs cœurs se transforment en une plainte,
De devoir sous peu se quitter de nouveau,
Maintenant, ils marchent le long de l'eau.
Doucement ils disparaissent vers la vie,
Le Clair de lune aura été leur ami,
Ils n'auront même pas remarqué,
Que les étoiles brillaient au bout de leur nez.

On peut perdre son travail lorsqu'on a des ratés

On peut perdre son crédit lorsqu'on est endetté,
On peut perdre sa mémoire, on peut perdre sa maison,
perdre sa fougue et même perdre la raison

On peut perdre sa richesse sur un seul coup de dé,
On peut perdre sa jeunesse comme on perd une clé,
On peut perdre son courage dans le fond d'une bouteille,
Perdre ses rêves ou son âme, c'est pareil

Mais un ami, c'est pour la vie...
Quand tout s'écroule, quand rien nous réussit
Un vrai ami, malgré le froid,
ça reste là...

On peut perdre sa route à cause d'un faux détour,
On peut perdre son cœur à cause d'un vieil amour,
On peut perdre sa vie à vivre dans le passé,
On perd même parfois le gout d'aimer

Mais un ami, c'est pour la vie...
Quand tout s'écroule, quand rien nous réussit
Un vrai ami, malgré le froid,
ça reste là, ça reste là...
car un ami, c'est bien plus fort,
plus fort que tout, même plus fort que la mort
Un vieil ami, quand tout est gris,
ça nous sourit

On peut perdre son honneur lorsqu'on est humilié,
On peut perdre son calme lorsqu'on est bousculé,
On peut perdre son temps à trop compter les heures,
On perd tout lorsqu'on vit dans la peur

Mais un ami, c'est pour la vie...
Quand tout s'écroule, quand rien nous réussit,
Un vrai ami, malgré le froid,
ça reste là, ça reste là...
car un ami, c'est bien plus fort,
plus fort que tout, même plus fort que la mort,
Un vieil ami, quand tout est gris,
ça nous sourit...

Comme une ville qui s’allume

Et que le vent vient embraser,

Tout mon cœur brule et se consume,

J’ai soif, 0h ! J’ai soif d’un baiser.

Baiser de la bouche et des lèvres

Où notre amour vient se poser,

Plein de délices et de fièvres,

Ah ! J’ai soif d’un baiser.

Baiser multiplié que l’homme

Ne pourra jamais épuiser,

Oh toi, que tout mon être nomme,

J’ai soif, oui d’un baiser.

Fruit doux où la lèvre s’amuse,

Beau fruit qui rit de s’écraser,

Qu’il se donne ou qu’il se refuse,

Je veux vivre pour ce baiser.

Baiser d’amour qui règne et sonne

Au cœur battant à se briser,

Qu’il se refuse ou qu’il se donne

Je veux mourir de ce baiser.

La confiance

Dans la vie il faut avoir confiance
Confiance à l'amour et l'amitié
Que chacun de nous peut donner.
Confiance que tout va bien aller sur la terre
Souvent grâce à des prières.
Confiance que l'on peut être heureux simplement
Avec ce que nous avons maintenant.
Confiance que l'amour que nous avons
Emplie notre cœur de passion.
Confiance en notre ange gardien
Qui saura nous protéger, croyez-le bien.
Confiance que plus nous avancerons dans la vie
Plus d'expérience, nous aurons acquis.
Confiance que nos erreurs passées
Nous aurons donné un peu de maturité.
Confiance que nous sommes très gâtés
Et les autres, ne pas envier.
Confiance surtout dans la vie
Et tout ce qu'elle nous donne de jolie.

Je te donne

un feu pour éclairer ton cœur,
pour sentir la douce chaleur
de la braise intérieure.
Un morceau de soleil
avec ses chauds rayons,
pour te laisser réchauffer
sous son ardente chaleur.
Je te donne...
Un morceau d'arc-en-ciel
pour colorer ton monde
quand tout semble tourner
à la grisaille.
Quelques roses parfumées
pour embrasser tes sens
avec son bouquet de fragrance.
Je te donne...
Une ondée d'étoiles filantes
pour que la nuit venue,
tu puisses faire un désir.
La rosée du matin,
pour embrasser le jour
pour t'y étendre avec délices
Je te donne...
Une brise d'été pour caresser ton visage,
pour que tu saches
que quelqu'un se soucie de toi.
Le doux chant d'un rossignol
pour te rappeler
que je suis toujours là...
Je te donne...
Mon éternelle amitié, toujours vraie.
Un cadeau à garder au-dessus de toi
pour toutes les fois
où tu te sens nostalgique
ou juste
parce que tu as besoin d'un ami...
Cet ami qui sera toujours là pour toi...

Le meilleur des amis
Peut changer tes soucis
En un sourire
Lorsque tu es triste.

Le meilleur des amis
Comprendra
Tes petites épreuves et
Te tendras la main.

Le meilleur des amis
Partagera toujours
Tes rêves secrets
Parce que c'est important
Pour toi.

Le meilleur des amis
Vaut plus que de l'or

Le meilleur des amis
Te donneras plus d'amour
Que ce qu'un cœur peut contenir.

A l’ombre d’un vieil arbre

Je me suis endormi.

Je me mis à rêver,

Plongé dans mes désirs,

Je ne voyais que du bon

J’en oubliais le mauvais.

J’ai continué de penser

A ce qui pourrait m’arriver.



Un ange est apparu

Ébloui par une lueur,
S’avançant vers moi

J’ai découvert son visage.



Cet ange merveilleux

Comme il n’y en pas deux,

C’est le rêve dans un rêve.



J’ai voulu lui parler,

Mais il ne m’a répondu,

Son seul regard suffisait

A faire comprendre, véhiculer,

Ses paroles, ses pensées.

J’en étais stupéfait,

De pouvoir discuter

Sans ne dire mots.



Et il s’en est allé,

Me laissant comme gage

Son sublime sourire,

Et cette image unique

D’une pureté sans pareil.



Mon rêve c’est alors figé,

Et j’ai ouvert les yeux,

Tu étais là devant moi,

Sorti du rêve j’ai réalisé,

L’ange exquis qui souri

N’est en fait que réalité.



Tout songe peut ainsi

Devenir, plus véritable,

Si à la place de rêver

Je me mettais à t’aimer.

Il est des soirs très doux

Où le ciel resplendit

Et la vie se repose

Il est des soirs très doux

Où l’amour refleurit

Comme un bouton de rose

J’errais désemparé,

Frêle esquif sur les flots.
Le vent faisait vibrer
Quelques dernières feuilles.

Et mon cœur affligé

Exhalait des sanglots

Comme une pauvre fleur

Qu’une main dure effleure.
Mon âme allait vers toi

Sans qui tout est morose ;
Oh ! Entendre ta voix,
Ton rire de cristal,
Et voir ton doux visage,
Image fraiche et rose,
Te serrer contre moi.
Oh ! bonheur sans égal.
Puis tu m’es apparue,

Silhouette adorée.
J’ai murmuré ton nom
Et dans mes ouverts
Amoureuse et ravie,
Tremblante, abandonnée,
Tu t’es blottie, frileuse
Au vent froid de l’hiver.
Mon bras ployait ton corps
Alanguit et inerte.
Je sentais ton cœur battre
Et l’écoutait pleurer.
Tu as levé la tête
Et sur tes lèvres offertes
J’ai déposé doucement
Un long et doux baiser.
Un nuage a glissé

Sur la lune sereine.
Dans le sentier obscur
Nous marchions lentement
Enlacés et muets,

Bien loin de toute peine
Amoureux éternels
Et amants triomphants.

Il est des soirs très doux
Où le ciel resplendit
Et la vie se repose
Il est des soirs très doux
Où l’amour refleurit
Comme un bouquet de roses.
Puisse ces quelques vers
Beaucoup vous amuser
Vous apporter la joie
Et vous faire rêver.
En échange de quoi,
Salaire bien léger
Je ne demanderai
Qu’un tout petit baiser