LA FOLIE DES POETES

Courage, petite sœur,
Fais un vœu chaque fois que tu pleures.
Redresse-toi au lieu d'avoir peur.
Quelqu'un t'attend là-bas.

Souris, petite sœur,
Même quand tu as envie d'avoir peur.
Le bonheur est tout près, il existe.
Quelqu'un t'attend là-bas.

Garde toujours une prière dans ta poche
Et tu y verras plus clair.
Ne t'en fais pas, la nuit s'en va.
Ne vois pas le monde à l'envers.

La Haine

Un sentiment de colère
Qui nous prend et nous exaspère
On aimerait bien la combattre
Mais elle est là a quartes pattes
Qui nous attend prêt à bondir
Et ainsi nous envahir
On sait qu'elle fera mal
Et qu'il faudra du temps pour la battre
Elle nous défie en s'acharnant
Nous rapellant un passé ardemment
Quelle déception nous ressentons
Quand on la sent au plus profond
Aimer c'est facile
On se sent bien utile
La haine est une bête horrible
Qui nous ronge la poitrine
Mais elle est là et nous guette
Attention ou ce sera la guerre.

A vous ma bien-aimée...

Très belle amie,
De vous : mon cœur est épris.
Et ce depuis de nombreuses années,
Même si vous m'êtes plus âgée.

J'ai succombé à votre charme,
Et peu importe mes armes :
Mon âme vous est entièrement dévouée,
Car vous possédez toute la grâce des fées.

Votre époux étant le roi,
Je ne peux défier la loi.
Mais sachez que le moindre de vos regards,
Me rend totalement hagard.

Je souhaitai vous faire part de cet aveu,
Afin que les dieux
Puissent m'aider à conquérir
[center]Votre si majestueux sourire.

Je n’ai plus peur de la mort

Je n'ai plus peur de la mort
Elle est devenue mon avenir
On me dira que j'ai tort
Demain sera meilleur ou pire

Quel avenir peut-on se donner ?
Quand le passé nous mortifie !
Il faudrait tout recommencer
Pour que tout le monde oublie !

Mortifié, je ne le suis que trop
En repensant à ce que j'ai fait
Il faudrait vraiment être idiot
Pour se dire que tout s'efface d'un trait

Recommencer, c'est commencer par quoi ?
Dès le début, quand je suis né
Et si ça devait être le cas
Il n'y aurait pas que moi à changer

Je suis né dans l'égalité et l'innocence
L'innocence ne reste qu'aux innocents
L'égalité ne rime pas avec équilibre
Je ne puis être donc libre

Je n'ai jamais anticipé ma vie
Jusque là, je l'ai plutôt subie
Et comme je n'ai jamais rien maîtrisé
Ma vie, je l'ai fracassée.

L'amour en musique Chargement
L'amour en musique

Accordons nos instruments
Jouons rien que tous les deux
Des valses en amoureux
Des morceaux pleins de sentiments

Joue de ta flute, je jouerai
De mon triangle, utilisons nos voix
Chantons le bonheur d'être aimés
Recommencer tant de fois

Chantons de concert
Ce corps à corps langoureux
Chaud comme l'enfer
Chaud et insaisissable feu

Joue de ce bel instrument
Qui provoque, en moi, cette chaleur
Ce cri du cœur, ce bonheur
J'aime ta chanson, fan comme une enfant

Emmène-moi au septième ciel
écris-moi encore cette belle chanson
Avec ta musique, Dieu que la vie est belle
Chantons, rions, avançons !

écrire les moments qui s'enfuient
Transmettre des moments de bonheur
Qui laissent pleurer les cœurs
écrire des mots, des bruits, des cris

Hurler ses problèmes et ses douleurs
Faire partager son plaisir et ses envies
Ecrire et vivre l'histoire de sa vie
Combattre ces démons qui nous font peur.

Yeux d'enfant, yeux d'adulte...

Je garde en moi tant de souvenirs,
Je me rappelle de nos sourires
De confidences chuchotées
De doux baisers volés,
Je ne veux pas oublier
Cette tendre époque
Où un simple sourire égayait mes jours
Où une fleur faisait mon bonheur,
Je me souviens de nos fous rires
De nos bêtises innocentes
De notre confiance inébranlable…

Mais tu sais depuis j'ai grandi,
Je regarde le monde avec de nouveaux yeux
Des yeux d'adulte…
Et tu sais,
Ce que je vois m'effraye,
Rien n'est comme avant
Le soleil n'est plus si brillant
L'amour plus si innocent
Même la confiance a fui,
Je crois qu'elle a eu peur,
Peur de ce drôle de monde,
Alors pour ne pas fuir moi aussi
Pour ne pas sombrer dans les ténèbres
Je m'entoure de doux souvenirs…

Je me dis que j'aurais voulu comme toi
Garder mes yeux d'enfants,
Parfois j'aimerais bien les retrouver
Mais je ne peux oublier ce que j'ai vu,
Tu sais, un jour je te rejoindrai,
Je te raconterai le monde
De mes yeux d'adulte,
Et toi tu me rappelleras
Comment c'était avant,
Avant que je grandisse,
Avant que tes yeux d'enfant
Ne se ferment pour l'éternité…

Chargement
Ta lutte?

Des enfants rient dans la rue
Pendant que pour toi tout semble perdu
Alors tu t'enfermes dans tes souffrances
Et dans un long et dangereux silence.

Mais la vie est si belle en dehors
Alors ne te noies pas dans des remords
Et croque la vie à pleine dents
Comme le font les petites enfants insouciants.

Et puis apprends à penser à toi
Sinon tu perdras ton combat
Et il ne le faut pas car cela serait un drame
Alors commence, s'il te plait, par sécher tes larmes.

Promets-moi aussi que tu t'en sortiras
Et qu'une fois dehors tu prouveras à tous
Que ta vie aussi peut être douce
Tu auras alors vaincu le malheur : Ton combat.

Alors maintenant fais-moi plaisir
Et garde en toi les meilleurs souvenirs
Comme celui d'un sourire ou d'un coucher de soleil
Et ainsi colorie de bleu ton propre ciel.

Et n'oublie jamais que ta vie est merveilleuse
Encore plus belle qu'une pierre précieuse
Et si tu en doutes parfois encore
Dis-toi que tu vaux plus que le plus superbe des trésors.

Alors je t'en supplie, fais-moi plaisir
Et reste avec ton si joli sourire
Et efface de tout ton possible
Ce qui fut pour toi le plus terrible.

Oui ma puce, il est temps aujourd'hui
De faire le deuil de tous tes soucis
Pour que le soleil puisse entrer chez toi
Et dans ton cœur y retrouver la joie.

Et tout est fini.

Et tout est fini.
Là, comme ça.
Notre histoire, si belle, qu'on pensait infinie...
Elle s'arrête là.

Je pensais que c'était pour un temps
Serait-ce pour toujours ?
Je n'arrive pas à y croire vraiment
J'y croyais à notre amour.

Alors voilà, tu t'en vas.
Tu me jettes, comme ça.
Plus de deux ans balayés
Plus de deux ans qui partent en fumée.

J'étais bien avec toi,
L'amour acquis sans doute.
Tu es partie loin de moi,
La distance... sans doute.

Mon cœur git brisé
À tes pieds.
Il t'appartient à jamais
Tu n'en veux pas, tu me hais.
Peu m'importe le futur maintenant.
J'aimerais que tout redevienne comme avant.
C'est véritablement fini...
Alors que le temps passe vite, que je me tire d'ici.

Loin de toi ma blessure pourra peut-être cicatriser.
Loin de toi je pourrais peut-être réapprendre à aimer.

La haine est ma seule amie

La haine est ma seule amie,
Je lui en veux tellement,
J'ai failli supprimer ma vie,
Un amour d'adolescent,

La haine est le seul mot qui me définit,
Puissant et bien joli,
Face aux douleurs qu'il m'a fait subir,
Il m'avait dit je t'aime,

Mon cœur ne tenait qu'à ce terme,
Il m'a fait tant de peine,
Arraché le cœur,
Si bien que maintenant je ne sens plus la douleur,

Je veux le punir,
Je veux qu'il cesse de vivre,
Qu'il soit désolé,
Qu'il arrête de rigoler,

Je veux le voir pleurer,
Je veux le faire souffrir,
Je veux le voir mourir.


La haine est si présente,
Il ne mérite même pas que je lui souhaite la mort,
Je veux qu'il se tue par lui-même,
Qu'il comprenne qu'il m'a fait de la peine.

Une longue absence

Deux yeux emplis de tristesse,
Il faut que j'analyse,
Quelle est cette détresse,
Qui me paralyse ?

Jamais je n'ai ressenti ça,
Elle m'envoyait sa mélancolie,
Cela influait sur ma vie ;
En m'ajoutant ses tracas...

J'étais lié à elle par amour,
Je crois que ça l'est encore,
Je sais que je l'aime comme au premier jour,
Cette passion me rend plus fort…

Je comprends pourquoi j'ai souffert,
Pourquoi ça m'a fait mal,
Elle est mon besoin vital,
Sans elle je ne serais plus sur Terre…

Nous sommes inséparables,
Notre relation est invincible,
Certes nous sommes libres,
Mais c'est ensemble que nos cœurs vibrent.

Je lui ai donné mon cœur,
Elle en a fait de même.
Et en exposant ses problèmes,
C'est mon corps qui a pris la douleur !

Je ne sais décrire ce que je ressens,
C'est comme s'il y avait une lame,
Qui transpercerait mon âme,
Et me viderait peu à peu de mon sang…

Ne me laisse pas trop vivre en solitaire,
Sans toi mon esprit est débonnaire,
C'est de toi dont j'ai besoin,
Et ça je le crie du soir au matin…

J'attends que tu ailles mieux,
Mais je te fais un aveu,
Aurai-je assez de patience,
Pour supporter une longue absence ?

J'ai une réponse pour cette question,
Et c'est tout simplement « non »,
Alors promets-moi de revenir,
Afin que je puisse tenir…

Et je n'y peux rien...

Invisible à mes yeux ,et pourtant bien présent dans mon coeur
Il me guide vers des jours heureux, vers un présent bien meilleur
Je peine parfois à dépasser les obstacles
Et il arrive hélas, que quelquefois je me lasse

Et je n'y peux rien...

Je ressens toute la passion, qui anime mon corps
J'y laisse même des frissons, et j'en demande encore...
J'offrirai toutes les larmes de mon âme, pour te sauver mon bien aimé
J'affronterais tous les oracles, pour toi je te le promets...

Je vendrais mon âme au diable, rien que pour connaitre l'amour
Celui dont parlent les anges, eux qui croient au toujours
Je laisserai même l'éphémère, guider chacun de mes pas
Je rendrais son passé à hier, pour que tu ne m'oublies pas...

Je le voudrais bien...

Je pourrais souffrir atrocement, si cette souffrance me guidait vers toi
Je pourrais même t'aimer dignement, mais je ne le peux pas
J'affronterais le monde, et même toutes les armées
Je deviendrai féconde, juste pour une pensée

Mais je n'y peux rien...

Je suivrais le chemin, qui me mènera vers toi,
Je le voudrais bien, mais ce n'est pas si simple hélas
Tu es parti un matin, je ne comprends pas
Et je n'y peux rien... Je ne m'y résouts pas.

Et je n'y peux rien... rien... rien...

Ce n'est qu'un cauchemar

Deux ans et six mois mais je n'ai pas perdu espoir,
Je sais qu'un matin je vais me réveiller
En réalisant que tout ça n'était qu'un cauchemar…

Tu n'es pas parti, tu ne nous as pas quittés,
Je le sens, je le sais,
Je vais bien finir par me réveiller…

Deux ans et six mois que plus personne ne parle de toi,
Deux ans et six mois que je me rapproche de toi,
Pas à pas…

Impossible d'exprimer toute la peine que j'ai,
Impossible de montrer tout ce que j'ai enduré,
Et ça, même si impossible n'est pas français.
Sache que moi je ne t'oublierai jamais…

La vie est tellement injuste que la mort paraît meilleure,
Pourtant tu n'as fait que suivre la lueur.
Oui, si t'es mort c'est parce que c'était ton destin.
Il faut que je me redresse et que je regarde mes lendemains…
Sans toi.

Tu regardes le ciel

Tu regardes le ciel
Il fait nuit
Tu fuis le réel
Tu voudrais que ce soit fini

Ce cauchemar que tu vis
Alors quand il fait noir
Et que la lune luit
Tu te dis qu'il n'est peut-être pas trop tard

Tu regardes les étoiles
Rêvant d'une vie meilleure
Leur lumière est pâle
Tout comme toi à l'intérieur

Malgré tout tu gardes un peu d'espoir
Lueur dans le noir


Mais tu le sais comme moi
L'espoir ne suffira pas



Tu es déjà mort
Ils te croient heureux
Ils savent qu'ils ont tort
Tu n'es pas comme eux

Ils sont dupés par tes sourires
Qui ne veulent rien dire
Ça se finira mal
Histoire banale

Tu es découragé
Alors devant la fenêtre tu t'assieds
Tu as soif d'accomplir ton destin de mortel
Tu regardes le ciel

Je m'en vais

Je suis venu te dire que je m'en vais,
Tes larmes ne pourront rien changer,
Tu pourras toujours pleurer,
Jamais je ne reviendrai.

Adieu et à jamais,
Je suis au regret,
De te dire que je pars,
Maintenant, au revoir, c'est trop tard.

Tes larmes coulent,
Mon cœur est saoul,
Mais il n'est pas idiot,
Il change juste de scénario,
Avec des acteurs en duo,
Et non pas en trio.

Mon départ me pèse,
Mais mon cœur s'apaise,
Il est venu te dire,
Que nos liens expirent.

éternels saluts,
Départ résolu,
Je suis venu te dire,
Que je viens de partir,
Inutile de m'idolâtrer,
Et penser que je vais rentrer.

Mais que nous arrive-t-il ?

Des souvenirs d'un lien
Une sensation convulsée
Ton regard dans le mien
Désormais reniés

Tes doigts s'enroulent autour de mes boucles
Tes doigts sous ma cuisse forment des cercles
Ta main dans ma main par instants
Ta main sur mon visage lentement

Ne me contrains pas
Je t'en supplie
Si tu ne m'aimes pas
Laisse-moi retourner à ma vie

Ces mots qui jaillissent de ta bouche
Ils frappent, blessent et me touchent
Toi tu n'en mesures pas l'impact
Mais à l'intérieur de moi ils restent intacts.

Je m'inquiète
Tu continues ta quête
De qui ? De quoi ?
D'une chose que je ne vois

Mon coeur balance...

Si on m'avait dit un jour
Que mon cœur balancerait entre deux eaux ;
Que je serais coupable de mes amours
Que je jouerais avec le feu...

C'est pourtant ce qu'il m'arrive aujourd'hui...
J'ai croisé son regard, un matin d'été ;
Je sortais de tes bras où j'avais passé la nuit
Je transpirais et j'étais essoufflée...

Là, je l'ai vue : "ELLE"
Tellement belle, une apparition divine,
Presque irréelle...

Je suis tombée en amour
Devant ses yeux de biche, sa peau mate
Et ses longs cheveux noirs.
J'avais atteint le point de non retour,
Cette impression d'être tombée dans un précipice, sans aucune halte
A mon grand désespoir.

Je me suis approchée d'elle et je lui ai pris la main.
ELLE était un peu perdue, mais ne bougeait pas.
Je l'ai emmenée dans mon antre, qui n'était pas bien loin ;
En prenant bien soin qu'on ne nous voie pas...

J'ai alors découvert le plaisir et la douceur
Dans les bras d'une femme.
J'ai embrassé la moindre parcelle de son corps
Et telle une fleur, elle s'est ouverte à moi, cœur, corps et âme...

Je n'avais encore jamais vécu cela,
C'était un pur fantasme
Qui prenait forme dans mes draps,
Une femme avec une femme...

Et me voilà à présent face à un cruel dilemme,
Je dois choisir entre le jour et la nuit
Et pourtant... Je les aime.
Mon coeur balance entre cet homme et cette femme,
Maudit soit le jour où j'ai damné mon âme !

Je ne peux me passer de LUI,
Mais encore moins me passer d'elle.
IL est le voile de mes nuits,
Et ELLE est mon rayon de soleil...
La douce plume de ma folie,
Pour eux, je me voudrais immortelle...

Et voilà que mon cœur balance
Entre l'eau et le feu.
Il balance...
Entre eux deux.

TOI MA HAINE

Elle se poursuit sans bruit ma vie.

Elle part vers l'infini, un peu au ralenti.

Je suis seule et c'est bien.

Oui, il y as les copains.

Mais ,ils ne comprennent rien.

Elle est fragile ma vie,ne me donne aucun répit.

J'aurai aimé te rencontrer,toi que j'aimais imaginer.

Tu ressemblais à ces acteurs au grand cœur.

A ces hommes rêveurs qui partagent leur bonheur.

Ces hommes aux mains magiques qui jouent de la musique.

Ces peintres au couleur océan qui aiment comme des géants.

Ces sculpteurs énergiques qui façonnent l'amour tout en rythme.

Ces nageurs solitaires qui rament

dans les cœurs pour nous faire un peu peur.

Ces bohémiens bizarres qui jouent de la guitare,

Même s'il es un peu tard.

Ces acteurs solitaires qui jouent l'amour

En douceur, avec un sourire charmeur.

Oui j'aurais aimé te rencontrer,

Avec tous ces atouts,avec tous ces rêves,

Même s'ils sont un peu fous.

Que m'importe après tout.

Mais je t'ai rencontré toi,qui ne savait,

Ni rêver,ni chanter,ni m'aimer!

Je t'ai suivis toi,comme on suit la misère,

Quand il n'y as rien d'autre à faire.

Je t'ai supporté toi,

Comme on supporte la pluie,en plein après-midi

Parce que c'est comme çà,

Les rêves étaient en moi,comme une plaie ouverte.

Tu as planté ta haine sur elle,

Claire, obscure mais cruelle.

Tu as chassé mon tendre geste

Posé dans le havre de mon cœur

La petite voix tu ne l'entendais pas!

Celle qui pleurait tout bas.

Mais mes rêves sont revenus et toi tu n'es plus.

Un ciel sans nuage
L'amour sans ambages
Un couple se forme
L'amour les faconde
Un baisé volé
Dans un champ de blé
La promesse associé
D'un future passé
passé a tes cote
Lové comme un bébé
Dans tes bras
Plus rien ne nous sépareras
Toi mon amour pour toujour

Habille-moi de mots d’amour.

De mots d’amour habille-moi
Velours drapé sur ma peau nue,
Que les secrets glissent leur soie
Qu’en longs frissons ils s’insinuent.

Des mots d’amour pour les nuits pâles,
Des petits noms qui font sourire,
Mon chat ,mon cœur ou mon étoile
De mousseline à mes soupirs.

Des mots d’amour brodant ma vie
D’une dentelle de tendresse,
Ta voix me fera plus jolie
Tes mots d’amour nouant mes tresses.

Des mots d’amour aux draps froissés
Quand la rosée embue la fleur?


Aux creux des rêves ils vont tisser
Un nid moelleux au lit du cœur.

Habille-moi de mots d’amour.

Je me ferais coquine

Je me ferais coquine
Pour que tu veuilles encore
Voir sous mes mousselines
Les courbes de mon corps.
Je me ferais féline
Pour avoir tes caresses
Dans ces heures divines
Où je suis ta princesse.

Je me ferais naïade
Braverais l’océan.
La plage de la rade
Te verras mon amant.
En robe de gitane
Je lirais dans ta main.
Et dans ma caravane
Se lieront nos destins.



Je veux être fraicheur
Du vent dans tes cheveux
Ma source et ma blondeur
Viendront baigner tes yeux
Les maillons d’une chaine
Pour dormir à ton cou.
Car ma joie est extrême
Que lorsque tu dis : nous.

Je suis un oreiller ;

Je suis un oreiller tout bleu
Où vient dormir sa tête blonde,
De la nuance de ses yeux ;
Je me fais tendre à sa joue ronde.

Elle me serre entre ses bras
Et me couvre de mots d'amour.
Son rêve est alors n'est rien qu'à moi.
Et je la berce jusqu'au jour.

En confident des nuits cruelles
Où elle appelle dans le noir
L'amour de cet être infidèle
Qui là conduit au désespoir.

Je la console et la cajole.
Et me parfume de sa peau.
Mets dans mes plis ses boucles folles
Pour sa nuque offre un duvet chaud.


Si souvent des larmes m'inondent
Je suis couvert de ses baisers
Il n'est pour moi meilleur au monde
Que d'être son doux oreiller

Il était une fois

♪☻♥☻♪☻♥☻♪☻♥☻♪☻♥☻♪☻♥☻♪

Il était une fois
une princesse d'autrefois
laissant couler ses larmes argentées
dans l'eau claire d'un lac gelé

Elle venait chaque jour
crier son amour
pour un prince à jamais parti
pour un prince d'un rêve d'une nuit

Dans l'eau
ses larmes de cristal
reflètent tout son mal
qu'elle laisse aller au grées des flots

prés de ce lac qu'elle enrichit en sanglots
ne trouvant plus les mots
pour crier au monde entier
le nom d'un prince qui l'a Oublié

♪☻♥☻♪☻♥☻♪☻♥☻♪☻♥☻♪☻♥☻♪